Il vaut mieux guérir que prévenir

Les planètes sont des acteurs qui prennent une importance plus ou moins bonne dans notre vie de tous les jours .

Dire qu’un aspect nous tombe dessus, est la sensation fausse, que nous  avons d’une fatalité qui serait arrivée même si nous n’étions pas intéressés par l’astrologie. Mais avec l’astrologie nous avons un marqueur.

Ce point de vue de la fatalité est toujours scabreux, parce qu’il nous renvoie vraiment à notre impuissance ; pourtant à part la chute d’un arbre, lors de la tempête non prévue, nous sommes toujours impliqués dans ce qui nous arrive : « pourquoi je suis passé par là ? ».

Cependant, les concordances de temps sont implacables et, nous nous demandons parfois comment y échapper : du coup l’astrologie devient un parapluie, car comme on dit : « il vaut mieux prévenir que guérir ». La vie devient un enfer, à grand renfort de petites prévisions, parce qu’à chaque transit difficile,   nous sursautons en nous inquiétant. C’est insupportable !

Tant que les choses paraissent immobiles  et peu fastes, nous sommes sans volonté,  et nous laissons passer des opportunités à cause d’un mauvais feeling et, d’une incapacité à  » trier le bon grain de l’ivraie « ,

A savoir :  »  y a-t-il un bon transit qui va me permettre de passer au travers ? Du coup, nous devenons aboulique, sans volonté.  Il faut vaincre la peur, et surtout, ne pas l’entretenir.

Imaginez que tous nous soyons mal aspectés au niveau mondial ce qui est le cas,  avec Neptune en Poissons en aspect de carré avec la lune noire en Gémeaux,  Neptune qui bien qu’en domicile, nous fait danser depuis un moment, d’un pied sur l’autre :  avec le Covid ou après un attentat, nous sortons, rentrons tétanisés par la peur en allant faire nos courses,  pensant qu’un incident pourrait se produire n’importe où.

Neptune en Poissons, pourtant dans cette situation unique pour des années est  là pour nous conduire vers une vision holistique, « plus qu’humaine »,  de la vie !

Je n’ose dire « seulement » humaine, car je ne pense pas que tout ce que nous voyons soit très humain, à moins de comparer les hommes et les femmes   à des chacals. 

Le chacal * à une fonction dans la chaîne alimentaire : comme charognard, il œuvre à faire disparaître une partie des vivants en s’ alimentant. Il œuvre contre le surpeuplement , il nettoie la nature , mais, nous, nous sommes devenus des fossoyeurs.

Le passé, humiliant pour des justes, mais glorifié par des nains, nous rend impavides, imperturbables, devant les  atrocités et les injustices qui se perpétuent sous nos yeux.

 

 

* en Égypte , Anubis , dieu à tête de chacal était le dieu de l’embaumement, de  l’au-delà, le maître des fossoyeurs,

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