Jour après jour, le président se débat dans le filet des affaires qui préoccupent le pays : On dirait vulgairement, qu’il a la grosse « caisse » (voir photo) à cause de la présidence de l’Europe. A courir après deux lièvres à la fois, on n’en attrape aucun.
Voyons ses transits dont j’ai déjà parlé : l’accumulation dans le secteur I. Mais dans l’ensemble beaucoup de bleu !
Son Mars rétrograde en VII (« j’attaque pour ne pas être attaqué ») , est opposé à Saturne de transit, ce qui va durer, Jupiter « la protectrice » en transit qui donne l’envie d’expansion est opposé à son Saturne de naissance : il est bloqué par la loi (l’Assemblée Nationale ne cède pas).
Sa communication devient agressive à cause d’ Uranus rétrograde qui passe sur sa lune en secteur III, carré à Mars natal, la lune qui reçoit Uranus vient mettre ses émotions à fleur de peau.
Mercure sur son AS est opposé à Mars progressé en rouge qui a reculé jusqu’à la cuspide de la VII, mais Mercure est également conjointe à Pluton qui fait aussi une opposition à Mars, or dans le thème natal, il a déjà un carré de Mars retro 11° à Uranus 14° en Scorpion, plutôt difficile (voir thème dans le blog) et la reproduction avec l’opposition d’un aspect ne fait que concrétiser le premier un peu plus, et ça va durer pour lui dans le temps.
Last but not least , Saturne natal fait un carré exact avec l’axe nodal (0°/1°), il y a donc la question de l’autorité qui est remise en jeu, autorité qu’il n’a surement jamais supporté de la part du père.
Comme je l’ai dit dans l’avant dernier article, Saturne de transit va se mettre en carré avec l’axe nodal en Taureau-Scorpion pendant sept mois après les élections d’avril, pour tout le monde et le président aura en plus Saturne de transit opposé à Saturne natal, car il va sur ses quarante-cinq ans. Mais un bon point : la planète est trigone au nœud nord natal en MVIII conjoint Pluton : il sortira bien de cette crise, par l’autorité.