J’avais fait un article sur Michel Barnier en novembre 21, je le repasse remis à jour parce qu’il vient d’être nommé premier ministre. Cette analyse ne reflète en rien une opinion politique étant donné qu’il s’agit d’une analyse astrologique du caractère personnel, accompagnée d’un biographie tirée de wikipédia .
On peut aussi lire ses origines dans l’ensemble savoyardes, dans Généanet, le site très sérieux de généalogie : https://www.geneanet.org/blog/post/2024/09/les-origines-familiales-de-michel-barnier
On ne pourra pas lui reprocher de ne connaitre que quatre arrondissements de Paris, l’accuser de parisianisme, si des critiques commencent à fuser.
« Michel Barnier, né le 9 janvier 1951, à Grenoble, à 16 h 40, a été par deux fois commissaire de la Commission Européenne, négociateur du Brexit pendant 4 ans, face à Théresa May et à Boris Johnson.
Candidat, gaulliste depuis toujours, plusieurs fois ministre de Jacques Chirac (Environnement, Affaires européennes, Affaires étrangères, Agriculture et Alimentation), son expérience politique est importante puisqu’il entre directement en politique dès sa sortie en 1972, de l’École Supérieure de Commerce de Paris, à 21 ans.
« Il est successivement chargé de mission au cabinet de Robert Poujade, ministre de l’Environnement (1973-1974), conseiller général de Savoie pour le canton de Bourg-Saint-Maurice (1973-1999), chargé de mission au cabinet de Pierre Mazeaud, secrétaire d’État chargé de la Jeunesse et des Sports (1974-1976), conseiller technique au cabinet d’Antoine Rufenacht, secrétaire d’État auprès du Premier ministre (1976-1977), puis secrétaire d’État au Commerce et à l’Artisanat (1977-1978). Il est élu député de la Savoie à l’issue des élections législatives de 1978. À 27 ans, il fut le plus jeune député dans l’hémicycle. Actuellement ce n’est plus le cas , il fait figure de dinosaure face à tout ces jeunes, à peine trentenaires notamment J. Bardella, qui a l’âge qu’il avait quand il a commencé.
En 1982, afin de reprendre le Conseil Général de la Savoie à la gauche, une entente politique prenant le nom « d’Union pour la Savoie » entre la droite et le centre est passée, sous l’égide, entre autres, de Michel Barnier, et procède à la distribution des investitures aux cantonales. Dès son élection à la présidence du Conseil Général, en , Michel Barnier s’engage avec le triple champion olympique Jean-Claude Killy dans la candidature et l’organisation des XVIe Jeux olympiques d’Albertville et de la Savoie, qui auront lieu en 1992.
Michel Barnier engage dès 1986 une politique de protection de l’environnement en Savoie et publie le rapport parlementaire Chacun pour tous et cent propositions pour l’environnement (éditions Stock, 1990). Il est nommé ministre de l’Environnement du gouvernement Balladur en , et fait voter entre autres la loi Barnier, qui comprend notamment la création de la Commission nationale du débat public pour les grands projets d’infrastructures et, instaure le début du principe de précaution.
En 1995, alors qu’il est au gouvernement, il est élu sénateur de la Savoie. Il est réélu en 1997 et quitte le Sénat après sa nomination comme commissaire européen en 1999.
Son expérience à Bruxelles lui a permis de voir l’envahissement progressif de la Cour européenne, dans la vie des nationaux : il se dresse maintenant en défenseur des droits des états, face aux dérives européennes qui menacent la souveraineté de la Justice des pays d’Europe. D’autre part, il se déclarait en opposition avec certaines des options des Verts français.
Il s’affirme pour une lutte contre l’insécurité grandissante, et le renforcement de la laïcité, en tant que candidat L.R, (5% aux dernières élections) il souscrit à une politique sévère face aux migrants, en promettant de réguler leur flux pendant trois à cinq ans, par une politique migratoire contenue, et organisée. Mais il se veut apaisant. »
Quel est son thème natal ?
Soleil en Capricorne, en position angulaire en secteur VII (analogie avec la Balance : les autres), il a un As Cancer (signe de la famille et de la patrie), c’est donc l’axe de la famille du point de vue des signes dans l’axe de l’identification, le je versus nous. il s’agit de se mettre en phase : sa mission dans la vie semble tout pour le pays et la famille. Le Capricorne n’extériorise pas mais ses émotions en public, qui sont fortes, ; sont contenues, son credo c’est l’activité, l’action silencieuse et determinée, individuelle, respectueuse de la hiérarchie, donc contraire à la pagaille ; l’ opposition de Mars à Pluton, le pousse à la réussite de l’action , jusqu’à l’épuisement de ses forces (AS Cancer en opposition au Soleil);, mais au nœud nord c’est un aspect de grandes ressources, de régénération. Cependant , une telle personnalité ne dit rien mais n’oublie rien.
La Lune en Verseau en MVIII, analogique au Scorpion, est gouverneure du thème.
Le Verseau est un signe froid régit par Uranus ce qui est un paradoxe pour un Cancer signe feminin : il y a peut-être une dualité entre l’AS et la lune, ce qui explique qu’il a été durant de longues années à Bruxelles, et cela a alimenté sa vision des choses sur le plan globale de la position de la France en Europe. Comme ses avis sur Bruxelles ont changé aux vues de ses expériences, on a dit qu’il avait changé d’avis : changer d’avis n’est pas une preuve d’instabilité mais d’intelligence, d’adaptation, d’évolution, bien que les journalistes s’attachent à vouloir montrer le contraire.
Sa lune , conjointe à Mars en domicile en MVIII et à Vénus indiquent une vivacité, mais en même temps une modération, et peut-être aussi une certaine agressivité (sa réponse à G. Attal, lors de la passation de pouvoir, fut piquante), sa capacité à se faire des ennemis, mais aussi à se battre avec Mars opposé Pluton Capricorne, en MVIII, une lucidité vis à vis des gens et en particulier vis à vis des questions financières.
La planète Mercure en Capricorne, responsable de la communication, conjointe à Chiron, en fin Sagittaire, dans son domicile de maison en VI, est régente karmique du nœud sud en Vierge et carrée à Saturne et Uranus qui sont opposés, opposition qui signifie l’innovation mais dans la loi, originalité mais dans les limites, or la Vierge est le signe qui fait la synthèse après avoir minutieusement respecté les procédures (tous les témoins de son travail sont unanimes, il est organisé : ce qui a été mentionné par les journalistes comme un défaut !)
Saturne est maitresse du Soleil, en MIV en Balance exaltée dans ce signe de justice, la MIV étant équivalente au signe du Cancer, ce qui remet encore la famille et le pays au centre.
Mais, pour plus d’un trait, c’est un uranien, car il possède Uranus sur l’ascendant, qui plus est, trigone à la planète Jupiter sur le MC en Poissons (exaltation des aspects diurnes du Poissons), conjointe au nœud nord en MX qui est la place rêvée de ceux qui ont un rôle à jouer !.
Mars opposé Pluton, Mercure carré Saturne opposée Uranus indique une personne innovante mais obstinée, qui peut s’opposer dans les négociations les plus dures : on cite le Brexit.
Seul le Soleil carré croissant Neptune apporte un idéalisme (ou on se méfie des illusions) qui permet de s’égarer hors des sentiers battus, en se trompant quelques fois : quel est son jardin secret ?
Les saturniens très différents des uraniens sont perçus comme des êtres sérieux et responsables, faisant passer les autres avant eux, avec un sens chevillé au corps de leurs obligations et responsabilités. Son AS en Cancer, tempère la sévérité de Saturne au FC, et son Uranus sur l’ascendant et les trois planètes personnelles en Verseau, lui donnent l’audace et la témérité des gens qui sont capables d’inventer des solutions , permettant de s’adapter à cette époque particulièrement déroutante. avec l’endurance due à l’expérience. Michel Barnier voit la conjonction nœud sud, Lune, Vénus, lune noire dans sa MIV qui marque un début et une fin, alors que Macron a la Lune qui passe sur son Pluton -nœud nord en MVIII, qui marque une fin, en tout cas une transformation ! Je n’ose conclure.
Ma seule notation personnelle sera de dire que les critiques sur son âge, sont de mauvais aloi, tandis qu’une partie de l’opinion a plébiscité J.L Mélenchon, né en août 1951 s’accrochant à des doctrines qui ont été des idéologies meurtrières* , qui ont abouti actuellement à des dictatures répressives, des régimes totalitaires, malgré toute sa bonne foi que je ne remet pas en doute.
Branche du grand-père paternel : Comme pour bon nombre de montagnards, ici en Isère, les générations les plus proches de nous sont “descendues” de leurs villages pour se rapprocher des villes. Le grand-père de Michel Barnier, François Jules (1880-1965) est ainsi né à Grenoble, d’un père venu de Saint-Étienne-de-Crossey, village de 1500 habitants à la fin du XIXe siècle, avec une altitude variant entre 370 et 884 mètres. C’est là que l’on remonte la généalogie des Barnier jusqu’à Jean Claude, né vers 1620 et décédé dans cette commune en 1680. On ne connaît les différents métiers des Barnier que depuis Pierre (1774-1852), fermier du hameau de Tolvon. En remontant les branches par les différentes unions, on s’éloigne relativement peu de Saint-Etienne de Crossey : Les Avenières, Sainte-Blandine, Paladru, à une soixantaine de kilomètres au sud-est de Lyon pour l’ascendance maternelle de François Jules, et au nord de Grenoble, à Voiron et alentours (Brézins, Corenc, Saint-Etienne-de-Crossey, Saint-Ismier). Les professions sont assez variées : un couple de cafetiers, des jardiniers, des vignerons, un cordier, des laboureurs, des marchands-peigneurs, un charron, un tisserand, un aubergiste, un employé dans les fermes du Roy…
Du côté de sa grand-mère paternelle : Avec Emérence Euphroisine DUFFAUD (1892-1971), on s’éloigne vers le nord-est, avec des origines savoyardes dans deux zones distinctes : à une vingtaine de kilomètres d’Albertville, le long de la rivière de l’Isère (Val d’Arc, anciennement Randens, Grésy-sur-Isère et Aiton) pour ses ancêtres paternels, et plus à l’est, à Moutiers, Hautecour et Notre-Dame-du-Pré pour ses ancêtres maternels. Rappelons que ces zones, contrairement à celles évoquées avec les ancêtres de François Jules, faisaient partie de la Savoie historique, un pays à part entière englobant les deux Savoie, descendant jusqu’à Nice et incluant la vallée d’Aoste et une partie de l’Italie. La Savoie disparut en 1860, avalée par la France et l’Italie. Ces familles venaient donc d’un pays étranger à la France, même si l’on sait bien que les frontières étaient beaucoup plus poreuses dans le temps qu’aujourd’hui et qu’elles n’avaient pas forcément une grande signification pour les paysans qui bougeaient peu de leur village, notamment en région montagneuse. Nous disposons malheureusement de peu de renseignements sur les professions exercées : un père et un fils négociants à Randens (les DUFFAUD), un meunier et un boulanger au XIXe siècle, et beaucoup plus loin dans le temps au XVIIe siècle plusieurs notaires qui se transmettent leur charge de beau-père en gendre, deux chirurgiens, deux bourgeois et un marchand.J
Grand père maternel : Jean Edmond DURAND (1894-après 1945) et son épouse Thérèse Louise GOUBERT se sont mariés au Caire, en Egypte, Jean Edmond étant médecin militaire et affecté dans ce pays. Ils étaient cependant tous deux nés à Marseille, et ce n’est que plus tard dans leur vie qu’ils s’installèrent à Albertville. Par la branche paternelle de Jean Edmond, on trouve des ancêtres venus de l’Hérault et plus particulièrement, sur plusieurs générations, de Lansargues, à quelques kilomètres de Montpellier… mais aussi en Saône-et-Loire, près du Creusot, où était née la modiste Jeanne CAS (1831-1896), sa grand-mère
** Pour ceux qui ne savent pas lire : dans le petit livre rouge de Mao, il est dit « qu’il vaut mieux tuer un ennemi innocent, que de laisser en vie, un possible coupable ».