Développement perso : conflit de territoire et maladie

Salomon Sellam est un des diffuseurs de la médecine psychosomatique, disciple de Hamer et de Fléche, « méprisés » par la médecine officielle, alors que  certains hôpitaux introduisent de plus en plus de médecines douces dans les soins paramédicaux (réflexologie, hypnose, méditation, soins par les plantes et les huiles essentielles, etc…).

Pourquoi ? Parce que devant tant de détresse, ils disent à leurs patients (de plus en plus nombreux et jeunes), de trouver du réconfort de quelques manières que ce soit, en continuant le traitement difficile de la chimio et de la radiothérapie. Il existe aussi beaucoup de maladies orphelines, de maladies que les médecins qualifient d’imaginaires ce qui leur permet de critiquer les soins qu’ils qualifient de placebo. mais ce qui compte c’est de trouver quelque chose quand il n’y a rien. Et souvent ça ne coûte pas plus cher. L’ayurveda, les sons cristallins des bols de cristal, le yoga, les séances de thérapie dans la  forêt pour des citadins accrocs aux réseaux, sont autant de relaxation.

La médecine psychosomatique, qui traite les phénomènes « non vérifiables scientifiquement »  a ainsi de beaux jours devant elle, lorsqu’on voit à quel point la médecine officielle soigne le corps sans soigner l’âme.

N’étant pas médecin moi-même, je vous soumets ceci à titre d’information, que vous pourrez retrouver abondamment développé dans le livre « Origines et prévention des maladies » de 2004.

L’idée majeure est qu’il n’est question ni de terrain, ni d’hérédité dans la plupart des apparitions de cancers ou autres maladies, mais qu’elles surviennent à la suite d’un stress somatisé par le corps qui n’a que cette solution pour parler. La mal-à-dit a quelque chose à nous dire que nous n’avons pas encore conscientisé.

La maladie survient après un choc, mais il y a eu auparavant des petits chocs qui sont restés dans la « jarre » de l’inconscient.*

Durant une vie sur le plan psychologique, il existe certaines situations que nous devons apprendre à identifier pour nous protéger. Une fois que nous les avons repérées, le principal est d’aller en parler à un psychothérapeute ou au moins à un tiers, le pire étant de ne pas en prendre conscience et de le garder pour soi, l’isolement étant la base du déclenchement.

Le conflit provoque un stress : le stress est un facteur qui peut se diviser en stress venant de l’extérieur, stress venant de l’intérieur et stress inconscient. Les stress inconscients sont les plus délicats, puisque nous utilisons moins de  1% de notre cerveau, et que tout le reste est inconscient. 

La maladie commence au moment où l’individu est confronté à un conflit auquel il ne s’attendait pas, ses moyens de défense habituels sont complètement dépassés… Elle débute en un instant : la preuve, les bébés.

Le conflit de territoire fait partie des choses les plus simples et les plus basiques, encore faut-il le nommer.

C H E G L A T est l’abréviation pour déterminer le  symptôme d’un conflit de territoire qui peut  se prolonger par de l’asthme, des problèmes pulmonaires, des cancers du poumon en l’absence de causes mécaniques (poussières, fumées, pollution atmosphérique, etc). Il se lit comme ceci :

C … Conflit : « je vis une situation qui entraine du stress et de la violence »

H… pour Humain

E G … »En Général »  le conflit porte sur tout ou rien

LAT … Lié Au Territoire :

Il y a toujours une notion de territoire, qu’il soit réel à mesurer en m2- ou imaginaire ; il est celui que nous aimerions avoir mais que nous ne possédons pas, ou qui n’existe que dans notre tête (symbolique), il ressemblerait à un territoire virtuel, nous ne le voyons mais il n’existe pas.

Exemples des nuances que peuvent prendre ces conflits :

Réel : des voisins se disputent pour une clôture entre leurs terrains respectifs,

un enfant a une chambre plus petite que celle de son frère et il le vit mal,

la famille doit déménager et un des enfants ne le souhaite pas pour ne pas perdre ses copains, changer d’école, etc…

A une échelle plus grande, le conflit de territoire peut-être illustré par un conflit armé ou une guerre.

Vous avez ensuite les exemples, qui peuvent correspondre aux définitions entre situations imaginaire, symbolique, virtuelle :

Imaginaire : un homme doit présenter sa future femme à ses parents et, il imagine avant d’y aller la réaction de son père qui ne semble pas très chaud ; il anticipe le conflit. Le stress imaginé et engendré par le cerveau est identique au niveau physiologique à celui qui serait engendré par une dispute réelle.

Symbolique : un jouet que des enfants se disputent ; celui-ci est le territoire, dans un divorce qui se passe mal avec un enfant, le cadre familial et  l’enfant devient le territoire, un poste pour un employé, etc.

Virtuel : une patiente dit « chaque fois que mes parents se disputaient, c’était comme si je me disputais avec mon père, je prenais tout sur moi », ou encore, « Ma mère me proposait de m’offrir un vélo pour ne pas que j’aille chez mon père, et je pensais fortement à ce vélo pour refuser la visite ».

Quand une personne subit ce conflit, cela peut aller de la simple grippe au cancer des bronches, tout dépend de la masse conflictuelle.

Ces deux types de conflits sont régis par le cortex cérébral et ils sont d’origine ectodermique* : en phase active de conflit…c’est une réaction tissulaire, des micro ulcères qui ne provoquent pas grand-chose au niveau des signes cliniques, si ce n’est une sorte de toux sèche ou une simple irritation de la gorge…Quand la masse des conflits n’est pas importante, et s’il y a des virus ce sera une simple grippe.

Au contraire, si cette masse est importante, nous aurons les pathologies de type cancéreux, seule la multiplication cellulaire peut venir à bout de ce chantier…car le corps se défend comme il peut.

Si dans mon inconscient, la résultante symbolique de mon conflit est « je ne peux plus respirer ici, il me faut de l’air », le seul moyen pour accentuer le débit d’air circulant dans mes bronches est d’augmenter le diamètre de celles-ci. La formation de ces micros ulcères en est la réponse. En creusant la muqueuse épithéliale, l’ouverture bronchique s’agrandit proportionnellement à l’activité conflictuelle…

Après une explication assez longue que je ne rapporte pas ici, le docteur Sellam écrit : « je suis en droit de me poser la question suivante :  le fait de fumer ne signifie-t-il pas une tentative inconsciente pour stimuler ma muqueuse bronchique, afin de plus et mieux percevoir l’air passer dans mes bronches pour avoir la sensation de diminuer mon activité conflictuelle ? …Pour moi, la consommation de tabac serait proportionnelle à mon activité conflictuelle : j’ai un petit conflit et quelques cigarettes suffiront à diminuer mon Conflit lié au territoire, j’ai un gros conflit et plusieurs paquets seront nécessaires pour endiguer mon conflit lié au territoire. » (Résumé des page 179 à 182). 

*Au début de la vie, à l’état embryonnaire un être en devenir est composé de trois feuillets : endodermique, ectodermique et mésodermique et  ces feuillets correspondent aux tissus cérébraux. Comme il y a une correspondance entre l’embryologie et les structures cérébrales toutes les tumeurs, cancers sont d’origine ectodermique.

 Voir article « la découverte du docteur Hamer »

 

 

 

 

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