Notre résonance avec l’univers

Ce petit article de vulgarisation sur la résonance  met en lumière  le rapport entre l’homme et l’univers, redonnant peut-être l’ opportunité à l’astrologie de ne plus être considérée comme une  superstition d’un autre âge.

 « C’est dans les années 1920 que le scientifique Georges Lakhovsky a commencé à s’intéresser aux ondes. Il prit alors connaissance des travaux du professeur d’Arsonval relatifs aux effets des courants à haute fréquence, sur les animaux. Il s’intéressa également aux travaux de Nikola Tesla sur les ondes et les courants oscillants, autre chercheur qu’il rencontrera plus tard.

Ses propres recherches l’amèneront à établir une analogie entre notre cellule et l’émetteur récepteur de radio.

Mais, avant d’aller plus loin, nous allons vous expliquer le principe de résonance :

Chaque objet possède une fréquence qui lui est propre que l’on appelle fréquence de résonance. Quand deux objets, quels qu’ils soient, sont accordés à la même fréquence et que l’un d’eux vibre, le second (s’il est dans son champ d’influence vibratoire) se met à vibrer.

Si vous prenez plusieurs diapasons de forme, de nature et de matière différente, seuls les diapasons identiques se mettent à vibrer : une voix au diapason du cristal peut briser un verre. La fréquence d’un carreau de fenêtre est aux alentours de 100 Hz alors que celle des verres à boire est plus aiguë (420 Hz).

L’explosion de l’usine AZF à Toulouse en 2001 a brisé les vitres aux alentours, tandis que les verres de table sont restés intacts. Parmi d’autres exemples passionnants, citons l’histoire du pont de Takoma qui s’effondre le 7 novembre 1940, après plus 1 heure de balancements qui ne cessent de s’amplifier. La fréquence propre de la structure du pont correspondait précisément à la fréquence du vent latéral : 65 km/heure. Un vent plus fort n’aurait rien fait. Restons sur le pont, le 18 avril 1950 à Angers, un régiment militaire provoqua l’écroulement d’un pont suspendu par le passage des soldats au pas cadencé. La fréquence de ce pas est entrée en résonance, avec la fréquence vibratoire du pont, générant une amplitude de plus en plus élevée entraînant la destruction du pont : depuis, les militaires ne passent plus sur un pont au pas cadencé (vérifié).

Un autre exemple que nous devons à Tesla lui-même, qui a mis en lumière  le principe de résonance.

En 1898, il attacha un petit oscillateur au pilier de fonte central soutenant son immeuble. Il s’agissait d’un petit pendule se balançant et, venant frapper le pilier selon une cadence régulière calculé au préalable. Tesla observa la mise en résonance successive de tous les objets de la pièce au fur et à mesure que la fréquence augmentait. Mais à son insu la vibration de très basse fréquence s’était communiquée au pilier, au sous-sol ainsi qu’aux immeubles avoisinants. Ces derniers se mirent à trembler et les vitres explosèrent. Tesla détruisit rapidement son oscillateur d’un coup de marteau.

Ainsi, pour Lakhovsky, toutes les cellules du corps humain, qu’elles soient nerveuses, osseuses, musculaires ou d’une autre nature, émettent une fréquence et une intensité qui leurs sont propres. Elles sont également capables d’émettre et de capter des informations. Par contre, lorsqu’une cellule tombe malade, elle n’émet plus alors la même fréquence. Cette cellule ne vibrant plus de la même façon, elle ne « parle plus » le même langage que les autres cellules qui l’environnent et « n’est plus comprise » ; la coordination qui règne dans un corps en bonne santé est altérée et la maladie s’installe.

L’idée géniale de Lakhovsky fut de construire un appareil générant un champ de fréquence dans un spectre très large. Lorsqu’une personne est placée sur ce type d’appareil, les cellules atteintes reconnaissent leurs propres fréquences, auxquelles elles s’accordent. Plus récemment un bio physicien de renom, Fritz Albert Popp, a mis lui aussi en évidence que chacune de nos cellules vibrait à une certaine fréquence spécifique, pour laquelle elle était prédestinée. Lui aussi a pu se rendre compte que les fréquences des cellules se modifiaient en phase de maladie.

Plus récemment en 2001, le Dr Gimzewski, nous apprend qu’une cellule cardiaque vivante, placée dans un milieu nutritif, continue à battre au même rythme que l’organe, d’où elle provient. Il se met à penser que si toutes les cellules vivent et produisent un son (aussi faible soit-il) il peut être détectable. En 2004, il détecte et amplifie le son de cellules vivantes, qui ont des fréquences différentes.

Pour Lakhovsky, il n’y a pas deux personnes sur Terre qui aient les mêmes caractères, le même aspect, les mêmes qualités, les mêmes constantes physiques et chimiques, c’est-à-dire électriques. Chaque cellule a son oscillation propre. Il faut émettre autant de longueurs d’onde qu’il existe de cellules différentes afin de pouvoir entrer artificiellement en résonance avec chacune d’entre elles.

Au sein de la cellule, pour Lakhovsky, les chromosomes sont un peu comme des filaments composés de matières isolantes remplis d’un liquide conducteur d’électricité, à base de sels minéraux que l’on trouve habituellement, dans l’eau de mer. Les chondriomes présents dans la cellule sont identiques mais plus petits. Ainsi, tous les éléments cellulaires, grands et petits, sont autant d’oscillateurs électromagnétiques. Or, on peut constater qu’il n’y a pas deux de ces filaments qui soient géométriquement égaux. Par conséquent, il n’en est pas deux non plus, qui ont la même longueur d’onde.

Nous savons que tout conducteur isolé est susceptible d’osciller, s’il est excité par un rayonnement extérieur correspondant à sa longueur d’onde propre, qui le fait vibrer en résonance, mais aucun circuit ne peut osciller, s’il n’est excité par une énergie rayonnante (chaleur).

Dans la cellule, pour faire osciller tous les éléments que renferme une cellule, il faut des longueurs d’onde différentes, car le chromosome, est par exemple considérablement plus grand qu’un chondriome et, chaque élément a besoin d’une onde en rapport avec sa longueur pour le faire entrer en résonance. C’est pour cette raison que Lakhovsky construisit un appareil créant un champ électrostatique, dans lequel se trouvent toutes les fréquences, depuis la longueur d’onde du mètre jusqu’à l’infrarouge, de sorte que dans ce champ, chaque cellule peut trouver sa fréquence propre pour vibrer en résonance.

Lakhovsky a d’abord commencé ses expériences sur des  pélargoniums, à l’hôpital de la Piété Salpêtrière sur invitation du professeur Antoine Gosset : les plantes sont atteintes de maladies après qu’on leur ait inoculé la bactérie Agrobacterium tumefaciens ; « Cet appareil produit des oscillations qui correspondent à 150 millions de vibrations par seconde...  L’action nécrosante des radiations s’est montrée rigoureusement élective et, s’est limitée strictement aux tissus malades…  Les organes sains –tiges et feuilles- sont restés indemnes et la plante a conservé toute sa vigueur. »

Depuis, il y a des vignobles et des pépinières dans lesquelles les plantes écoutent du Mozart :

« Quand Carlo Cignozzi a restauré la ferme de Paradiso di Frassina et qu’il a planté un nouveau vignoble de Sangiovese autour d’elle,  il a eu l’intuition que jouer de la musique à la vigne serait bénéfique pour sa croissance et la rendrait épanouie : « mes expériences musicales sur la vigne ont eu un écho partout dans le monde et ont attiré l’attention des chercheurs de l’Université de la faculté d’agriculture de Florence avec qui je collabore depuis 2005 sur les effets physiologiques de la musique, et plus récemment avec l’Université de Pise sur l’aspect entomologique. Avec ces universités nous avons étudié, à la fois sur le terrain et en laboratoire, les effets positifs des ondes sonores sur le système racinaire de la vigne, les feuilles et les fleurs, et en particulier sur l’effet répulsif des ondes sonores sur les parasites et les prédateurs : 6 haut-parleurs diffusent 24H/24 du Mozart dans les vignes

L’expérience musicale du vigneron Carlo Cignozzi est parvenue jusqu’aux oreilles du professeur Amar Bose fondateur de la célèbre société Bose, spécialisée dans la fabrication de haut-parleurs de qualité. Amar Bose lui a fourni 56 enceintes pour diffuser la musique dans ses vignes à 5 km au sud de Montalcino en Toscane. Sans interruption, la musique de Mozart baigne le vignoble jusqu’aux vendanges. Le vigneron ne s’est pas d’ailleurs arrêté à la vigne puisqu’il diffuse également de la musique dans sa cave pour accompagner les fermentations. Il produit ainsi un Brunello, « La Flûte enchantée », le premier vin au monde à être entièrement élevé avec du Mozart. »

 

Écrit par 

2 commentaires sur “Notre résonance avec l’univers”

  1. MAGNIFIQUE !!
    Déguster du vin élevé par Mozart…Que demande le peuple ?

Répondre à CHANTAL QUINET

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.